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SARASVATÏ
Déesse de la connaissance et des ARTS. Sarasvatī, déesse de la connaissance, de l’éloquence, de la sagesse et des arts, était aussi à l’époque védique, la divinité des rivières. Elle est l’épouse, la shakti de Brahmā, le dieu créateur de la trimurti indienne et leur union souligne la notion que la connaissance est une condition sine qua non de la création Sarasvatî est la déesse de la connaissance et la maîtresse des arts. Les possessions matérielles ne l’intéressent pas, aussi elle est habituellement habillée d’un simple sari blanc et porte peu de bijoux, par rapport aux standards indiens. Sa monture est un grand cygne blanc, parfois un paon. Parfois assise dans une fleur de lotus, deux de ses quatre bras jouent de la vina, un autre tient un livre, les Veda, le dernier un chapelet ou un crochet à éléphant. À l’aube du monde, Brahmā tombe amoureux de sa première création, Shatarupa ou Savriti, la déesse de l’existence matérielle, et se fait pousser "cinq têtes "pour pouvoir "la contempler et la surveiller "en permanence.(!!!…) Shiva arrache une des ces têtes pour contenir le désir de Brahmâ qui demande assistance à Sarasvatî – la connaissance, la sagesse – pour améliorer son contrôle sur lui-même.(!!!…) Sarasvatî transmet alors à Brahmā la discipline de l’esprit enseignent à Brahmā comment échapper aux distractions et aux tentations du monde sensuel.(!!!…) (sources wikipedia) |
GONE TOO SOON… (Parti trop tôt…)
1958-2009 Mickael Jackson avait écrit et dédiée Cette chanson a un jeune malade du sida, qui malheureusement est decedé tres jeune ; mais ,les paroles de cette composition laissent à croire que Mickael jackson pressentait CURIEUSEMENT la fin de sa propre vie ….. lES PAROLES SONT MAGNIFIQUES… Danse avec les anges et sois "enfin "en paix … |
L’évolution ne connait pas la marche arrière….. [Boris Cyrulnik] Nous habitons un monde interprété par d’autres où il nous faut prendre place. [Boris Cyrulnik Un enfant n’a jamais les parents dont il rêve. Seuls les enfants sans parents ont des parents de rêve. [Boris Cyrulnik] Les grandes souffrances qui peuvent délabrer à jamais une vie affective ne se rencontrent que chez ceux qui connaissent la passion. [Boris Cyrulnik] Le paradoxe de la condition humaine, c’est qu’on ne peut devenir soi-même que sous l’influence des autres. [Boris Cyrulnik] La famille, ce havre de sécurité, est en même temps le lieu de la violence extrême. [Boris Cyrulnik] Extrait de Les nourritures affectives A l’époque où l’on n’a jamais si bien compris la relation mère-enfant, les nourrissons n’ont jamais été si seuls. [Boris Cyrulnik] Si la souffrance contraint à la créativité, cela ne signifie pas qu’il faille être contraint à la souffrance pour devenir créatif. [Boris Cyrulnik] L’invention picturale ou la fantasmagorie littéraire permettent de supporter le réel désolé en apportant des compensations magiques. [Boris Cyrulnik] ( Extrait d’une interview avec Antoine Spire – Le Monde de l’éducation – ) Boris CyrulnikEthologue, psychanalyste, psychologue, neuropsychiatre et écrivain français En 1942, alors qu’il grandit à Bordeaux, les parents de Boris Cyrulnik, juifs russo-polonais, sont arrêtés et déportés. Abandonné à l’assistance publique, l’enfant est protégé par son institutrice. Echappant de peu à la déportation, suite à une rafle en janvier 1944, l’orphelin trouve refuge dans l’humour et la biologie. Passionné par la nature, la politique et l’homme d’une façon générale, […] (Source :voir wilkipedia , Evene…)
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pour plus de renseignement voyez ce site :
Séraphine Louis (Arsy, 1864 – Villers-sous-Erquery, 1942) est une peintre de Senlis.
Autodidacte, elle s’inspirait des vitraux d’église et des images pieuses. Son œuvre est rattachée à l’art naïf .
D’abord bergère, Séraphine Louis travaille ensuite comme femme de ménage à Senlis. Le collectionneur Wilhelm Uhde découvre ses peintures et lui apporte son soutien. Peignant à la bougie dans un grand isolement, elle accomplit une œuvre considérable . Elle sombre cependant dans la folie et on l’interne (février 1932) en hôpital psychiatrique où elle continue à peindre. Elle meurt en 1942 à l’hôpital de Clermont-de-l’Oise, dans le dénuement et les dures conditions des asiles (comme CAMILLE CLAUDEL)
En 2008 un film est tirée de la vie de Séraphine, Séraphine de Martin Provost avec Yolande Moreau |